L’association Amédée, c’est comme une Arche de Noé. Elle compte aujourd’hui 38 pensionnaires.
Sauvés de l’abattoir, rescapés des iles, lâchement abandonnés sur le terrain de l’association, trouvés dehors…
Le sauvetage des animaux, Fabienne l’a dans le sang depuis bien longtemps !
Ils vivent sur sa propriété en Alsace, près de la frontière Suisse, là où les températures sont glaciales, en ce moment. A l’origine, Fabienne a récupéré un ancien chalet tout en bois. Elle en a fait sa résidence principale. Elle dispose d’un terrain d’un demi-hectare.
L’achat de cette propriété n’a pas été de tout repos.
Elle était en conflit avec le vendeur, qui ne souhaitait vendre qu’à une personne du village. Etrangère de la région, elle n’était alors pas la bienvenue.
Les chasseurs locaux non plus n’étaient pas d’accord ! Ils refusaient qu’on construise une maison à cet emplacement.
« Il y a eu des tentatives de sabotage, ils ont tenté de m’impressionner. Avant j’avais des brebis. J’en ai déjà retrouvé qui se sont fait empoisonner… Vous imaginez ? »
Fabienne habite près de l’autoroute. Il n’y a pas de maison à moins de 10 kilomètres. Le lieu de passage le plus proche, c’est l’aire d’autoroute.
« Je suis entourée d’un côté par la forêt, de l’autre les champs. »
Pour s’occuper de son association, Fabienne est seule. Elle est parfois aidée par des bénévoles.
Cet hiver, elle a dû faire des travaux pour faire sécuriser sa propriété. Refaire le portail de la propriété, pour sa sécurité et celle des animaux.
Ah les animaux ! Fabienne les aime passionnément… Et ils le lui rendent bien !
Sur son terrain vivent 3 chiens, 10 chats, 1 âne, 7 cochons vietnamiens, 3 oies et un jars, 3 tortues de Floride et un pigeon.
Quelle dévotion !
La journée commence tôt chez Fabienne. A 6 heures, elle est debout.
La première chose à faire, c’est sortir les chiens. Un petit tour d’une demi-heure. Ensuite elle rentre et c’est l’heure de la distribution des gamelles.
Elle commence par les chiens, puis vient le tour des cochons. D’abord ceux en intérieur puis ceux en extérieur.
Ensuite Fabienne sort. Elle va d’abord donner à manger à Parfait, isolé du reste du groupe car il s’est fait rejeter par les femelles.
Vers 10 heures, il faut aller nourrir les chats de la grange. Ensuite, c’est aux oies qu’il faut ouvrir. Fabienne leur distribue également de la nourriture A 11 heures, c’est le réveil d’Orion. Elle l’aide à se lever et nettoie son box. Elle y ajoute de la paille, retire les salissures… Bien sûr, Orion a droit à son premier repas de la journée. Orion, c’est le premier animal de Fabienne, son « vieil ami » de 35 ans.
Un peu avant midi, c’est l’heure de la vaisselle et de l’entretien de la maison. Fabienne récupère toutes les gamelles d’eau et de nourriture pour les laver. Quand elle le peut, elle distribue un peu de nourriture aux oiseaux, sur le bord de sa fenêtre.
A midi, c’est l’heure de son premier café.
Quand elle mange, c’est aux environs de 14 heures. Sinon, à 14 heures 30, les chiens ont droit à leur seconde promenade.
Il est maintenant 15 heures. Les cochons qui étaient à l’intérieur sortent et ceux dans l’enclos ont droit à un peu de liberté sur le terrain.
Une heure après, Fabienne relave à nouveau les gamelles, cette fois celle des chats de la grange.
A 17 heures, elle donne le « gouter » aux cochons. Du riz soufflé, des légumes du matin et beaucoup d’eau. « Ils en raffolent »
La seconde pause de la journée arrive vers 18 heures. Elle s’octroie 30 minutes, pas plus !
18 heures. Il faut aller sangler Orion pour le lendemain, sinon, au réveil, c’est sous 200 kilos qu’il faut passer la sangle.
Juste avant 19 heures, elle enferme les oies dans leurs enclos. Elle distribue un peu de graines mais reste à côté. Elle n’a pas le choix, sinon les cochons risquent de faire des dégâts…
19 heures. Encore un peu de ménage et c’est également l’heure de se mettre derrière les fourneaux. La nourriture des cochons est composée de pois, un aliment extrêmement long à cuire.
Arrive 22 heures. Elle prépare les assiettes de croquettes pour les chats et fait encore un peu de ménage.
« Je ne vais pas me coucher si les sols de la maison ne sont pas propres ! »
23h00 ! Fabienne ressort une dernière fois pour la dernière promenade des chiens. Quand elle rentre, il est 23h30. Juste le temps d’aller se coucher !
« Quand on aime, on ne compte pas ! Et je pense que je suis née pour ça »
Ses animaux, Fabienne les aime plus que tout ! On aimerait vous les présenter !
Princesse, utilisée toute sa vie pour la reproduction
Cette chienne, labrador a environ une dizaine d’années. Elle vient également de l’Ile de la Réunion. Une amie hôtesse de l’air l’a confiée à Fabienne. Elle n’avait aucune chance de se faire adopter là-bas. Toute sa vie, elle a été utilisée pour la reproduction… Aujourd’hui, elle est heureuse chez Fabienne.
Ignace a de graves problèmes de vue, et de prostate.
Tout comme Princesse, c’est un beau labrador de 8 ans. Fabienne l’a trouvé sur un site de petites annonces.
Une annonce qui lui a paru étrange. Se rendant sur place, elle demande les papiers du chien… Rien. Fabienne soupçonne un trafic de chien. Probablement issue d’une reproduction consanguine, elle décidera d’adopter Ignace, pour le sauver.
Le pauvre avait déjà beaucoup de soucis de santé. Aujourd’hui, cela ne va guère mieux. Il a de gros problèmes de prostate. Il n’arrive plus à uriner normalement. En plus, il a des problèmes aux yeux et oreilles. Il ne supporte plus la lumière, les rayons du soleil, le vent. Sa santé a toujours été fragile. Encore plus avec l’âge.
Il y a quelques années, il était amoureux de Flam, une adorable chienne, beauceron, partie trop tôt, à la suite d’une erreur médicale. Le pauvre était inconsolable et refusait de manger. Puis, tout est devenu plus beau quand il a rencontré Roxanne.
Roxanne, elle était destinée à servir d'appât pour les requins.
La pauvre a connu une vie de tristesse. Née sur l’ile de la Réunion, cette petite était maltraitée. Enchainée et affamée, ses propriétaires la gardaient dans un seul et unique but : qu’elle serve d’appât pour les requins.
Sur l’ile, c’est chose courante. Les chiens, vivant sont plongés dans l’eau, souvent blessé pour attirer les requins.
Elle est pourtant jeune. Elle n’a que 5 ans.
Il y a aussi des petits minous comme :
Domino, asthmatique.
Il avait été trouvé dans la rue, non loin d’un croisement, en pleine ville. Lorsque Fabienne l’a vu, elle l’a immédiatement attrapé, mit dans sa veste pour l’éloigner du danger.
Lors de la visite vétérinaire, le loulou était stérilisé mais non identifié.
C’est chose faite maintenant. Domino fait partie de la famille depuis maintenant 6 ans. Ce petit Domino a malheureusement de l’asthme, et ce, depuis qu’il a été recueilli.
« Je l’aime d’amour mais il a un caractère de cochon ! Il ne fait que s’enfuir. Bon, jamais très loin. Mais très, voire trop souvent, je suis obligée d’aller le récupérer à la station-service un peu plus loin, les propriétaires commencent à en avoir marre. »
Ned ou plutôt « patapouf », positif FIV et leucose…
Ned est un chat de 9 kilos. Fabienne le décrit comme un humain, d’une intelligence rare.
« Il me regarde droit dans les yeux, me demande de lui servir son repas, il cause à longueur de journée ! »
Quand elle l’a trouvé, ce loulou avait élu domicile dans une caisse non loin du barbecue, dans une caisse, légèrement en hauteur.
Quand Fabienne s’était approchée, il avait alors essayé le lui attraper les cheveux. Il voulait jouer. Le lendemain, il s’était alors présenté à la porte du refuge, cherchant probablement la chaleur du foyer. Il n’avait eu le droit d’entrer que quelques jours plus tard, juste avant d’aller chez le vétérinaire.
Lors de la consultation, Ned semble être identifié. Il appartient à une autre association… En Normandie. Rappelons que Fabienne habite en Alsace, près de la frontière suisse.
Malheureusement pour lui, les examens sanguins montrent qu’il est positif FIV ainsi qu’à la leucose.
Génie, seule dans la forêt.
Fabienne a trouvé Génie alors qu’elle n’avait que 3 mois. La pauvre petite était aux confins de la forêt. Dissimulée dans les branches d’un arbre, sous la pluie, elle a eu la chance de tomber sur Fabienne, alors en promenade avec ses chiens. Sa sauveuse a cherché. Une maman ? Des bébés ? Personne. Génie était seule, aujourd’hui, elle a Fabienne.
« Je ne sais pas d’où ça peut lui venir, mais aujourd’hui encore, Génie mange du maïs et du pain sec. Peut-être une habitude qu’elle avait bébé… Je ne le saurai jamais. »
Kikou, elle aussi, positive FIV.
Elle aussi est une rescapée de la forêt. La première fois qu’elle l’a aperçue, Fabienne a d’abord cru voir un renard. Ce n’est qu’en attrapant ses jumelles, de nuit, qu’elle s’est rendu compte : Un chat.
A chaque fois qu’elle essayait de la nourrir, la petite partait en courant jusqu’au jour où elle a disparu.
Un jour, cette jeune chatte est revenue. Avec une surprise… Elle était gestante, presque à terme.
Comme pour la remercier de l’avoir nourrie, Kikou a offert à Fabienne ses 5 petits.
3 d’entre eux ont eu la chance de se faire adopter. Fabienne en a gardé deux. Malheureusement, un jour, Fabienne découvre avec tristesse que l’un des deux est mort. Il est au milieu de l’enclos des oies. Elle suspecte alors une crise cardiaque.
En ce qui concerne l’autre chaton, elle l’a gardé, bien au chaud et l’a nommé : Ti Prince
Il y a quelque temps la pauvre a été très malade. Elle a accumulé les soucis de santé. Une forme de coryza extrêmement sévère et elle se révèlera positive au sida des chats.
Pépita.
« Tout a commencé quand j’ai reçu l’appel d’une plateforme d’aide pour les animaux perdus. Une famille, alors sur la route des vacances avait ouvert la cage de transport de leur chat sur l’aire d’autoroute. Impossible de le retrouver après avoir fouillé le site pendant 2 heures.
Quelque temps plus tard, je vois au fond du jardin, un nouveau chat, alors inconnu. J’appelle les propriétaires, alors rentrés chez eux, à plus de 200 kilomètres. Ils ont tenu à se déplacer pour confirmer qu’il s’agissait bien de leur chat, perdu. Ce n’était malheureusement pas le leur. Il s’appelait Pepito. En hommage, j’ai décidé de garder cette petite minette. Elle s’appelle Pépita. »
Ces 6 petits vivent directement dans la maison.
Dehors, il y a encore 4 autres chats. Ils ont élu domicile dans la grange, légèrement à l’écart de la maison.
Pissala 1. Fabienne s’en souvient parfaitement. La première fois qu’elle a vu Pissala 1, c’était le 04 septembre. Elle n’a jamais réussi à l’attraper et lui dispenser les soins nécessaires. Cependant, il est toujours resté dans les environs.
Pissala 2.
« J’ai enfin pu le prendre dans mes bras le 06 janvier, je veux graver cette date dans ma mémoire ! »
Cela fait bientôt 2 ans que ce loulou habite avec les autres « Félix » comme Fabienne s’amuse à dire. Mais ce chat à une particularité : il adore dormir sur les cochons !!
Pissala 3
Pissala 4 est trop sauvage. Fabienne ne parvient qu’à l’apercevoir le soir. Ce n’est que lorsqu’elle sort pour donner de la nourriture aux hérissons qu’elle entrevoit les deux billes vertes de Pissala 4. Sa lampe frontale reflète dans les yeux du chat, encore trop craintif pour se laisser voir.
Encore trop sauvages, « les Pissala » préfèrent restés en extérieur. Ils se contentent de manger les croquettes et la pâtée qu’elle leur met à disposition. Pissala en alsacien, ça veut dire « petit minou »… Même s’ils n’ont que des numéros, Fabienne leur donne déjà tout l’amour dont elle est capable.
Le seul équidé de la famille, c’est lui ! Orion, un bel âne de 35 ans.
Tous les jours, c’est la même routine. Le matin, c’est Fabienne qui va lui donner un coup de pouce. Pour le mettre debout, elle utilise son treuil. Il est vieux, il n’a plus la force de se relever seul. Ses pattes sont engourdies. Elle le sangle pour qu’il puisse se reposer un peu.
« Il a besoin d’aide pour se lever, mais par contre pour se coucher, il est capable de le faire seul, ce grand bonhomme !! »
Orion a besoin de foin particulier. Il est âgé, il lui faut donc une alimentation spécifique. Fabienne lui prend du foin très fin, pour des raisons de digestion.
Mais tout cela a un coût.
N’oublions pas les 7 cochons vietnamiens.
Tous ces petits sont nés des mêmes parents. Un couple que Fabienne avait recueilli. Ils étaient alors maltraités, utilisés pour la chasse…
9 petits étaient alors nés. Deux d’entre eux ont eu la chance de se faire adopter, les autres sont restés auprès de Fabienne.
Elle les a donc baptisés, parfois, avec un certain sens de l’humour !
Certains ont même le droit d’avoir deux noms.
« Le premier est le plus commun… Mais quand les cochons entendent leurs seconds prénoms, ils savent qu’ils ont fait une bêtise ! »
Parfait et Prudence, ici sur la photo
Margaux-Simone.
Fabienne a noué une relation particulière avec elle. Il arrive que Margaux se couche sur le dos et se laisse gratter le ventre. Par contre, quand Fabienne crie « Simone », elle se rend vite compte que l’animal la comprend parfaitement !
Pinky-Winky
et Loly-Pop.
Modeste-Grincheux, qui partage sa nourriture avec Cécilio et Marguerite.
« Il est tout le temps en train de donner son avis, et le plus souvent, il fait la tête, une vraie tête de cochon. Qu’est-ce qu’il peut être râleur pour un cochon ! »
Mais celui qui fait battre le cœur de Fabienne, c’est Charmeur. Il est le plus câlin, le plus coquin, le plus mignon des 7.
« Il me rappelle mon premier cochon Amédée. C’est en sa mémoire que j’ai décidé de créer mon association. C’était un cochon merveilleux. Aujourd’hui, il est décédé, mais Charmeur me le rappelle tous les jours ! »
Parmi eux, Charmeur et Modeste vivent en intérieur. Ne s’entendant pas particulièrement bien avec les autres, Fabienne a décidé de les séparer éviter alors toute bagarre.
« Les cochons ne sont pas dangereux pour l’Homme, bien au contraire, ils adorent les câlins ! »
Dans son jardin, il y a aussi les oies...
Il y a Violette et Margherite, les deux oies blanches, Cerise, l’oie cendrée et enfin Cécilio, le jars.
Ils ont tous été sauvés avant les fêtes de fins d’année. Il n’était pas envisageable pour Fabienne se les voir se faire engraisser avant d’être abattu…
Et puis, il y a Chtoumpa.
Depuis 42 ans, Fabienne avait lié une relation particulière avec sa tortue. Malheureusement cet été, celle-ci a disparu.
Dans son malheur, une nouvelle petite a rejoint la grande famille de Fabienne. En l’honneur de son amie, la nouvelle pensionnaire s’appelle désormais Chtoum.
Elle rejoint donc Floflo et Caroline, les deux autres tortues de Floride. Floflo est une drôle de tortue. Quand Fabienne l’a recueillie, force est de constater qu’elle ne sait pas nager. Avant de faire partie des pensionnaires, Floflo vivait dans un aquarium, bien trop petit pour elle.
Caroline, c’est la prunelle des yeux de Fabienne. « Elle me fait des bisous. L’hiver, je l’enveloppe dans un drap, et elle regarde la télévision avec moi, alors que je suis fait des câlins. »
Et pour finir, le petit Rourou, un pigeon incapable de voler. Quand elle l’a recueilli, elle s’est aperçue qu’il avait une aile cassée, à vie.
Seulement voilà. Tous ses animaux ont des besoins et malheureusement, plus le temps passe, moins Fabienne arrive à y subvenir.
« Ma retraite ne suffit pas. Le budget nourriture pour mes chéris représente 900 euros par mois. Le reste, c’est pour les frais d’entretien, et les frais vétérinaires et surtout, rembourser mon prêt immobilier… Je n’y arrive plus, j’ai besoin d’aide… »
Le budget alloué à la nourriture est d’environ 900 euros par mois. Il concerne le foin particulier dont Orion a besoin, mais aussi la paille pour les cochons. A cela s’ajoute l’achat de graines pour Rourou, le grain pour les oies. N’oublions pas les croquettes spécifiques pour les chiens et la pâtée pour les chats.
« L’achat de salade pour les oies, et les autres aliments comme le riz ou les fruits, je les prends en même temps que mes propres courses, avec mon compte personnel »
Fabienne a dû faire face à des frais vétérinaires plus élevés en cette fin d’année.
« Se sont greffés des vrais vétérinaires supplémentaires en décembre, suite aux consultations et hospitalisation de chats atteints de coryza. Je ne peux pas les faire vacciner pour le moment. En plus de les avoir recueillis à l’âge adulte, je n’en ai pas les moyens. Mes chiens ont besoin d’une alimentation spécifique et de qualité. Je ne peux pas faire autrement. Aujourd’hui, le moindre souci me met en grande difficulté. »
Fabienne a tenté de récolter de l’argent en organisant une journée porte ouverte.
Malheureusement ce n’est pas suffisant.
Si Fabienne fait appel à nous aujourd’hui, c’est pour lancer un SOS.
3 000 euros sont nécessaire pour cela
Vos dons et appels du cœur permettront à financer l’achat de nourriture des animaux pour les mois à venir. Ils ont désespérément besoin de vous !
Merci les Clicoeurs !
En soutien à
Amédée :Dans la suite de SOS Croquettes 68, j'ai voulu fédérer les bénévoles qui interviennent pour m'aider à gérer les nombreux animaux recueillis dans ce qu'on appelle La Fermette. L'association AMEDEE a donc été créée pour concrétiser des années d'interventions pour veiller et vérifier le bien être des animaux, en aidant et contribuant aux besoins quotidiens, aux soins médicaux...➤ En savoir plus
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Il y a quelques collectes, dont celles-ci qui n'en finissent pas. je viens de refaire un don pour la remonter en tête. Ce serait tellement gratifiant si elle était finie pour ce week end.